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Des soirées PUMA Social un peu trop sociales

Nous continuons notre rubrique « mode » pour cet été, et cette fois-ci nous nous occupons du bas et notamment des chaussures PUMA.

PUMA Social Club

Toujours dans l’optique de renter dans le club pour serrer de la gadji, Puma propose de nous équiper, nous les athlètes de la nuit, ouais mec, 2ème au saut en hauteur de poubelle au championnat Intercontinental de Madrid ! La marque allemande fait donc du social pour tous les gonz qui sortent à la recherche de la performance, du dépassement de soi, du goût pour l’effort, du fanny au baby foot… Du quoi ? Genre le baby foot ça existe encore ? Bé ouais les athlètes de la nuit de chez PUMA jouent au baby foot.

Voilà le texte de la marque sur son site : « Nous glorifions les champions des jeux de la nuit, du ping-pong au baby-foot en passant par la chasse au numéro de téléphone, et nous conseillons sans réserve le taxi de 5 h du mat’ au jogging de 5 h du mat' »

Que ceux qui ont déjà joué au ping pong à 5h du mat lèvent la main ?!

Si côté sport, PUMA se rapproche de plus en plus de la colonie de vacances, côté musique, ils mettent la barre très haut « en louant » très régulièrement, the place to be, le mythique Social Club pour y organiser des soirées dont on parle de plus en plus. Nous nous y sommes d’ailleurs rendu ce jeudi 8 avril et comme d’habitude, des bonnes et des mauvaises surprises.

La bonne surprise, c’est qu’ils respectent leur engagement. Une soirée PUMA Social, c’est un climat bonne ambiance, une party où tout le monde est convié afin de retomber dans cette douce vie de lycéen, où un baby-foot et une bière suffisaient pour s’amuser. A la carte, des speakers au look Gunther Love, des concours de jeux de bistrots, des jolies filles, un open-bar et des tout pleins de goodies à gagner.

Le hic, c’est qu’à trop vouloir être sociaux, ils pourront bientôt prétendre au label « classe verte ». En effet, pour assiter à la fameuse pré-soirée privée, il suffisait d’envoyer son nom via la page facebook officiel de la marque et de figurer parmi les 200 premiers inscrits. A cela s’ajoutaient les places qui ont étaient offertes à de nombreux blogs, les amis des organisateurs et les cousins des videurs, ce qui ramène la liste de la pré-soirée à bientôt  300 personnes. A ce rythme là, on peut dire que notre ami Gunther a été ambitieux en proposant de faire des parties de  « je te tiens par la barbichette ».

Il a juste été dommage de devoir attendre pour rentrer, attendre pour boire et attendre pour jouer… A croire qu’à partir du moment où l’on colle l’étiquette « social », le mot d’ordre est l’attente. Vivement les soirées sécurité sociale.

Les athlètes de la nuit

 

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