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L’activité social media des sportifs préférés des français en 2012

Il y a quelques jours est sorti le classement des sportifs Français préférés des Français. Un classement qui offre toujours la présence de représentants de nombreuses disciplines. Et encore plus lors d’une année Olympique.

Nous allons en profiter pour regarder l’activité sur les réseaux sociaux des concernés. Basiquement, ; leur activité sur twitter et Facebook.

Même si je ne suis pas très surpris par ce tableau, une conclusion me saute déjà aux yeux…il y a encore du boulot. Lorsque l’on voit des athlètes comme Teddy Riner ou Yoann Gourcuff qui sont jeunes  et qui font parti de la génération Y, ne pas être présents sur twitter, je me pose des questions. Je peux comprendre le manque de temps pour s’en occuper. Mais personne ne vous oblige à tweeter 5 fois par jours…

Si l’on compare à Tony parker ou Jo tsonga qui sont pourtant tout le temps en déplacement, ils tweetent peu mais sont présents tout de même. Pour d’autre comme Jeannie Longo, à la limite (sans faire de mauvais esprit), je le comprends.

Mais certains joueurs n’utilisent pas non plus facebook. Franck Ribery ou Hugo Lloris n’y sont pas.

Que cela tarde sur twitter, c’est déjà dur, twitter est mainstream depuis quelques temps maintenant. Ne pas être sur facebook, je ne le conçois pas. Il est vitale pour un athlète de fidéliser ses fans, d’entretenir le dialogue avec eux, ou au moins une forme de communication.

Et on aura beau dire ce que l’on veut sur la nouvelle politique engager par notre amis Zuckerberg, Facebook reste un lieu incontournable pour communiquer.

Bref lorsque je vois ce classement et la présence, ou plutôt la non présence de certains sur les réseaux sociaux, je me dis que ces stars devraient vraiment faire appel à des professionnels. Aux Etats Unis, on commence a en entendre parler. D williams, joueur des nets, a reconnu avoir engagé un journaliste pour écrire pour lui. Résultats, un contenu de qualité et régulier.

Alors oui on parle de dépense en plus pour les sportifs. Mais parlons également des retombées et du retour sur investissement. Lorsqu’un joueur va être autour d’une table pour discuter d’un contrat de sponsoring, les communautés qu’il aura développées pourront faire la différence. Ne l’oublions pas, ce sont aussi des espaces publicitaires pour les marques partenaires.

Bien évidemment on peut repenser a Kobe Bryant qui alors qu’il est en train de renégocier avec Nike, à véritablement pris en main sa page pour gagner plus de 12 millions de like en un été et atteindre les 16 millions. Il a désormais parlé de se mettre sur twitter.

Imaginez ce que cela représente quand Messi, Ronaldo et Kobe mettent des photos de leurs chaussures sur leur page Facebook/twitter. Cela représente un certain chiffre d’affaire. Ou plutôt, un chiffre d’affaire certain.

Et lorsque le joueur se voit reverser des royalties sur la vente de ses produits dérivés, la force du lien qu’il entretiendra avec ses fans aura une incidence directe sur ses revenus à lui. Alors il peut être bon d’investir dans un community manager. Ou tout simplement, prendre le temps  le temps de le faire soit même.

Pour conclure simplement, tout le monde gagne à ce que les athlètes soient actifs sur les réseaux sociaux, les fans bien sur qui seront comblés, les clubs et les partenaires évidemment, mais aussi les joueurs.

 

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